Catégorie : Editorial

  • Le 7 octobre – Un an après
    Le 7 octobre – Un an après

    « Comment le gouvernement ose-t-il organiser des cérémonies commémoratives du 7 octobre ? C’est de la provocation ! C’est une récupération politique indécente ! » Les mouvements constitués par des survivants et des membres des communautés les plus touchées, sont révoltés. Victimes de l’échec du gouvernement, abandonnés par le pouvoir en place, ils sont des milliers de rescapés des villes et…

  • « Voyons, vous ne pouvez pas dire non à de Gaulle ! »
    « Voyons, vous ne pouvez pas dire non à de Gaulle ! »

    J’ai raconté, le 5 juillet dernier, sous le titre « Les carottes sont cuites », les circonstances, à la fois dramatiques et rocambolesques, dans lesquelles le général de Gaulle, nommé président du Conseil, par le président de la République, René Coty, le 30 mai 1958, a été investi par l’Assemblée nationale, le dimanche 1er juin à 15 heures, par 329 voix…

  • Rien ne va plus ! Faites vos jeux !
    Rien ne va plus ! Faites vos jeux !

    « Assez joué » ! Écrit Caroline Fourest, dans son éditorial du numéro 146 de Franc Tireur du 28 août 2024. La Cinquième République est un régime parlementaire. C’est donc à l’Assemblée nationale, nouvellement élue, de prendre ses responsabilités et de se montrer capable de dégager une majorité suffisante au sein de laquelle le président de la République nommera un…

  • « Tenez bon, nous arrivons ».
    « Tenez bon, nous arrivons ».

    À l’occasion du 80e anniversaire de la Libération de Paris, je publie à nouveau un article que j’ai déjà consacré à ces journées historiques. L’objectif des généraux américains Eisenhower et Bradley était d’atteindre le plus vite possible le bassin de la Ruhr, où étaient concentrés l’industrie lourde allemande et les ports du nord de l’Europe.…

  • La France a-t-elle vraiment besoin d’un gouvernement ?
    La France a-t-elle vraiment besoin d’un gouvernement ?

    Chaque rue, chaque pierre Semblaient n’être qu’à nous Nous étions seuls sur Terre À Paris au mois d’août À Paris, au mois d’août 1966, la capitale était déserte, l’effervescence habituelle avait disparu, les rues, silencieuses, étaient presque désertes. Charles Aznavour chantait Paris au mois d’août, le titre du film de Pierre Granier-Deferre, qui venait de…

  • La France en fête.
    La France en fête.

    Le groupe Aéroports de Paris a demandé au chorégraphe Mourad Merzouki, de concevoir une chorégraphie qui symbolise l’esprit des Jeux, dans les aéroports de Roissy et Orly, au moment si particulier où les athlètes vont repartir dans leurs pays respectifs. Ils seront ainsi accompagnés jusqu’à leur montée dans l’avion, dans la joie et la fête qui…

  • « Tout le monde nous disait que c’était impossible. Vous l’avez fait. »
    « Tout le monde nous disait que c’était impossible. Vous l’avez fait. »

    Paraphrasant Mark Twain, Emmanuel Macron était visiblement soulagé, samedi, quand il s’est rendu à la préfecture de police de Paris, pour féliciter et remercier les forces de sécurité pour la qualité de leur travail lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques. Soirée magique, originale, grandiose, fête sublime, les qualificatifs manquaient, un peu avant minuit,…

  •  « Citius, altius, fortius »
     « Citius, altius, fortius »

    Le baron Pierre de Coubertin, fondateur des Jeux olympiques de l’ère moderne, ami du Père dominicain, Henri Didon, directeur de l’internat Albert-le-Grand, à Arcueil, auteur de la formule : « Plus vite, plus haut, plus fort… Vers le Christ », s’appropria le mot d’ordre et s’empressa de débarrasser la devise de son sens religieux pour en faire la maxime…

  • Quand l’instabilité gouvernementale provoque l’impuissance du régime
    Quand l’instabilité gouvernementale provoque l’impuissance du régime

     » En face de la stabilité de l’Amérique, de l’U.R.S.S., de l’Angleterre, de l’Allemagne « , quel spectacle offre la France ? Vingt-cinq gouvernements se sont succédé (…) Je dis à l’opinion publique de mon pays, qui, j’en suis convaincu, partage mon sentiment, que cet état de choses ne peut durer. À ceux qui douteraient de l’urgence…