Des scientifiques s’interrogent sur la dépendance à internet et aux réseaux sociaux, notamment chez les adolescents. Passer en effet quatre heures chaque jour, en moyenne, sur Internet et Facebook, c’est évidemment beaucoup trop dans la vie d’un jeune. Facebook, avec ses 400 millions « d’amis » est le type même du réseau social qui peut provoquer une «conduite addictive». Une étude récente révèle que 68% des utilisateurs se rendent sur le site au moins une fois par jour et y passe en moyenne 52 minutes par jour.
Si un adolescent a comme premier réflexe le matin de se connecter à Facebook ou Twitter et la même chose le soir avant de dormir, il y a lieu de s’inquiéter. C’est le signe d’une dépendance aux réseaux sociaux. Les adultes ne sont pas à l’abri ! Où se trouve la frontière entre un usage répété et une addiction? Les spécialistes de l’addiction considèrent qu’il n’existe pas vraiment de réponse. L’addiction commence quand le temps consacré à cette occupation devient trop important, au détriment des études, du travail, ou de la vie familiale et que, si le besoin ne peut être satisfait, l’usager devient irritable, triste, de mauvaise humeur.
Facebook a su se rendre incontournable. Chaque internaute peut créer son profil limité à un réseau d’amis qu’il a accepté et avec lequel il peut communiquer très rapidement et très efficacement. Il faut simplement bien choisir ses amis. C’est assez simple et agréable de pouvoir être, en temps réel, en communication avec des amis pour partager des informations, des photos, des émotions, des réflexions.
Parmi les informations, il y a souvent des caricatures. Toutes ne déclenchent pas un fou rire. C’est une question de tournure d’esprit. Il y en a pour tous les goûts.
En cette période assez morose, certaines caricatures ou photos, ces dernières semaines, m’ont réellement amusé. L’idée m’est donc venue d’en mettre en ligne quelques-unes sur ce blog parfois jugé un peu pessimiste par les lecteurs. Avoir envie de partager ce que nous faisons est une des caractéristiques des réseaux sociaux qui créent incontestablement un nouveau mode de vie.
Vivre l’instant présent, un “moment Facebook”, c’est exister. Quitte à se noyer sous la masse et le flux permanent des informations, autant en rire…
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